Donne un coup de main à notre biodiversité et opte pour une alimentation et consommation durable

Je mange local et de saison.

J’évite ainsi le transport de marchandises, souvent par bateau, et donc la pollution sonore et aquatique du milieu marin. De cette façon, je contribue par exemple à préserver les baleines et plein d’autres animaux marins.

J’achète uniquement les aliments dont j’ai besoin.

Je limite le gaspillage alimentaire et donc la surface agricole nécessaire, ainsi que les risques de déforestation. De cette façon, je contribue à préserver les écosystèmes. 

J’achète mes aliments en vrac et je choisis des aliments avec le moins d’emballage possible.

Je limite la pollution des rivières, des mers et des océans avec des déchets plastiques. De cette façon, je contribue à préserver les oiseaux marins.

Je réduis ma consommation de viande

Je reduis ainsi la surface agricole nécessaire à l'alimentation et donc la pression sur la nature.

Je choisis mes aliments en privilégiant des méthodes de production respectueuses de la biodiversité (labels, production durable...).

Je limite la pollution des écosystèmes, notamment agricoles, par les produits chimiques. De cette façon, je contribue à préserver les oiseaux et les insectes de nos campagnes.

Je m’aide de différents guides pour choisir mes aliments.

o    Pour mieux percevoir l’impact de nos choix alimentaires sur la planète, dans le cadre du projet #Eat4Change, le WWF-Belgique a créé le Guide des protéines. Il contient des conseils pour réduire sa consommation de produits d'origine animale mais aussi pour choisir de meilleurs produits. Il existe aussi une “version jeunesse” pour les jeunes afin de partager avec eux les informations importantes, et les aider à faire des choix alimentaires plus durables. 
o    Je limite la surexploitation des espèces en utilisant par exemple le guide du poisson du WWF. De cette façon, je contribue à préserver les tortues marines.
 

Je choisis de préférence des produits peu transformés.

Je limite les ingrédients et produits issus de la déforestation, telle que l’huile de palme non durable. De cette façon, je contribue à la survie des orang-outans et à la préservation de leur habitat.

J’utilise une gourde, et je choisis des pailles réutilisables.

Je limite la pollution des rivières, des mers et des océans avec des déchets plastiques. De cette façon, je contribue à préserver les fonds marins.

Je convaincs les autres de suivre mon exemple.

Je trouve tout plein d’autres conseils malins sur www.1001pourlabiodiversite.be.